L’éditorial de Philippe Gélie : «Donald Trump, la paix sans les Ukrainiens»
Le président des États-Unis a adopté la logique prédatrice de Vladimir Poutine dans laquelle la souveraineté des grandes puissances prime sur celle de leurs voisins.
Le président des États-Unis a adopté la logique prédatrice de Vladimir Poutine dans laquelle la souveraineté des grandes puissances prime sur celle de leurs voisins.
CHRONIQUE - Bientôt trois ans de guerre ont acté la déchirure entre la Russie et le monde libre. Le journaliste russe et dissident Dmitry Glukhovsky raconte en spectateur incisif ce bal des âmes mortes qui commence vraiment avec le retour de Poutine en 2012.
DÉCRYPTAGE - Lors d’un long échange téléphonique, Vladimir Poutine a invité Donald Trump à le rencontrer à Moscou. Le président des États-Unis exclut l’envoi de troupes américaines et l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan. Les Européens devront assurer l’essentiel du soutien à Kiev.
Scott Bessent doit s’entretenir avec les dirigeants ukrainiens des perspectives d’exploitation des ressources en terres rares.
DÉCRYPTAGE - Le président américain s’est dit prêt à continuer à fournir des armes à l’Ukraine contre un accès privilégié à ces minerais très prisés par l’industrie high-tech.
L’ordre de l’Administration Trump de suspendre l’aide au développement pendant 90 jours plonge les organisations dans une crise majeure.
ENTRETIEN - Le journaliste de CNN, spécialiste de géopolitique, voit en Trump une «menace existentielle pour l’ordre mondial», dans un contexte devenu le plus dangereux depuis la guerre froide.
Le président Zelensky a fait cette concession face à la pression de la Slovaquie et de la Hongrie, qui, jusqu’au 31 décembre, recevaient des milliards de mètres cubes de gaz russe transitant par l’Ukraine.
ENTRETIEN. Le dirigeant de ce pays qui a récemment rejoint l’Otan se dit confiant des premiers pas de Donald Trump sur l’Ukraine et soutient une ligne ferme face à Moscou.
Alors que Zelensky réclame l’envoi de 200.000 soldats occidentaux, les pays les plus impliqués dans le soutien à Kiev tablent plutôt sur le déploiement de trois divisions, soit plus de 50.000 hommes, qui seraient placées en arrière du front.