Pas de trêve olympique pour la haine en ligne

Pour les athlètes ou fédérations sportives, les Jeux olympiques de Paris 2024 n’ont pas toujours été une parenthèse enchantée. Si l’événement, salué pour la qualité de son organisation, a suscité une large ferveur populaire, certaines de ses séquences ont entraîné un déferlement de messages violents sur les réseaux sociaux. « Chez les médias que nous comptons comme clients, les articles sur la boxeuse algérienne Imane Khelif  ont généré en moyenne 40 % de commentaires haineux sur leurs réseaux sociaux, contre 8 % à 15 % en temps normal. Parmi eux, près de 35 % relevaient de l’homophobie », indique au Figaro Charles Cohen, fondateur et directeur général de l’expert de la modération Bodyguard. 

Le PSG et Roland-Garros parmi les clients

Cette start-up, qui compte comme clients des fédérations (rugby, football, handball), clubs (Juventus, PSG…) et événements sportifs (Roland-Garros), des médias (beIN Sports, France Télévisions, M6, Brut…), des personnalités et des marques, se charge notamment…

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