L’éditorial de Vincent Trémolet de Villers : «Contre la gauche “Zucman”»

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1. L’éditorial du Figaro Magazine : le coût de la délégitimation

   Entre une nouvelle chute de gouvernement, la nomination d’un énième premier ministre, l’indifférence des députés de l’Assemblée nationale et le regard d’Emmanuel Macron qui est partout sauf en France, une crise des modèles frappe la classe dirigeante.

2. L’éditorial de Vincent Trémolet de Villers: «Fatigue politique et découragement français»

   Emmanuel Macron doit affronter un mélange de déception, d’impatience, d’exaspération qui prend des proportions préoccupantes.

3. L’éditorial d’Yves Thréard : « Cauchemar socialiste »

   Un premier ministre socialiste pour succéder à François Bayrou serait l’assurance d’un enlisement, d’un effondrement garanti.

4. L’éditorial de Vincent Trémolet de Villers : « PS à Matignon, le but contre son camp de Laurent Wauquiez »

   LR doit participer au gouvernement pour empêcher la gauche d’en prendre le contrôle, mais sans s’y diluer.

5. L’éditorial d’Yves Thréard : «Rave party dans l’Aude, l’État de droit piétiné»

   Comment imaginer que plus de 2000 fêtards viennent danser sur un terrain meurtri par un gigantesque incendie, au nez et à la barbe de son voisinage ?

6. L’éditorial de Gaëtan de Capèle : «Le contre-budget des socialistes, aux fous !»

   Olivier Faure et ses amis ont des idées originales pour stopper le déclin de la France : travailler moins, dépenser plus et taxer à tout va.

7. L’éditorial de Vincent Trémolet de Villers : «Le socialisme, ce mal français»

   En pleine crise politique et financière, notre pays n’a pas besoin d’un socialisme de gouvernement, c’est l’exact contraire.

8. L’éditorial d’Yves Thréard : «Alliance avec Mélenchon, un socialisme panurgique»

   Intellectuellement à sec, le Parti socialiste préfère baisser la tête devant les outrances des Insoumis que de se donner une identité propre.

9. L’éditorial de Gaëtan de Capèle : « Face à la dette, une irresponsabilité collective »

   Contrairement à ce que prétendent avec légèreté ses adversaires, François Bayrou ne dramatise aucunement la situation, mais décrit la stricte réalité.

10. L’éditorial d’Yves Thréard : «François Bayrou seul contre tous»

    Le 8 septembre, le premier ministre engagera sa responsabilité devant le Parlement. Il pariait sur un quitte ou double. On sait déjà que le plus probable semble devoir être la chute de son gouvernement.