DIRECT. Guerre Israël-Hamas : l'Iran réfute toute implication dans l'attaque au drone en Jordanie qui a tué trois militaires américains

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Après la mort de trois militaires américains en Jordanie dimanche 28 janvier dans une attaque au drone, le président américain Joe Biden a promis de répliquer. Quelque 34 personnes ont également été blessées au sein de la base, selon le Commandement militaire américain au Moyen-Orient (Centcom). L'Iran a réfuté lundi toute implication, dans un communiqué de son ministère des Affaires étrangères diffusé par l'agence officielle iranienne Irna. C'est la première fois que des soldats américains sont tués au Moyen-Orient depuis le début, le 7 octobre, de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, faisant de nouveau craindre une escalade des tensions sur fond de guerre larvée entre Israël et l'Iran. Suivez notre direct.

Quatre hommes exécutés en Iran. Ils étaient accusés d'espionnage en faveur d'Israel et ont été oendus à l'aube, selon l'agence de la justice Mizan Online. Les quatre condamnés avaient été arrêtés en juillet 2022 alors qu'ils préparaient une opération contre un centre du ministère de la Défense à Ispahan, grande ville du centre de l'Iran, pour le compte du Mossad, a précisé l'agence. Leurs condamnations à morts avaient été prononcées en septembre 2023. 

La France "ne prévoit pas de nouveau versement" à l'agence onusienne sur les réfugiés. L'UNRWA, accusée d'avoir été impliquée dans l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, ne recevra pas d'argent de la France en attendant que "les enquêtes lancées ces derniers jours permettent de faire toute la lumière sur les faits passés." Cette annonce du ministère des Affaires étrangères, survenue dimanche 28 janvier, est valable au moins pour le premier trimestre 2024. La France, qui a versé 60 millions d'euros à l'UNRWA l'an passé, s'inscrit dans la lignée de plusieurs pays occidentaux, tels que le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, l'Italie ou encore la Finlande.

Des milliers d'Israéliens réclament des colonies à Gaza. Lors de ce rassemblement qui s'est tenu dimanche soir à Jérusalem, 12 ministres étaient présents, parmi lesquels le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, qui a déclaré vouloir "encourager l'émigration volontaire". Le Premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou n'a jusqu'à présent jamais soutenu le projet de relancer des colonies à Gaza, déclarant que le projet n'était "pas un objectif réaliste".