DIRECT. Guerre en Ukraine : au moins six morts dans une double frappe russe visant un hôpital, affirme Kiev
Au moins six personnes ont été tuées dans une double frappe russe visant un hôpital à Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine, a annoncé samedi 28 septembre le ministère ukrainien de l'Intérieur. La première attaque a "tué une personne" et endommagée plusieurs étages d'un hôpital, ce qui a entraîné son évacuation, a expliqué Igor Klymenko, le ministre de l'Intérieur, sur Telegram.
Alors que les secouristes et la police étaient arrivés sur place, "l'ennemi a de nouveau frappé durant l'évacuation de patients" et "à l'heure qu'il est, six personnes ont été tuées, dont un policier", a-t-il précisé.Les autorités régionales ont précisé sur Telegram que les deux frappes russes ont été perpétrées avec des drones iraniens Shahed. La seconde attaque a frappé également une zone résidentielle. Suivez notre direct.
Antony Blinken appelle Pékin à cesser d'"alimenter la machine de guerre russe" en Ukraine. Le secrétaire d'Etat américain a fait part à son homologue chinois, Wang Yi, de son "inquiétude quant au soutien apporté par la Chine à l'industrie de défense russe, qui alimente la machine de guerre russe et perpétue la guerre à laquelle la Chine prétend vouloir mettre un terme".
Donald Trump s'est engagé à "résoudre" le conflit en Ukraine. Le candidat républicain a fait cette annonce après une entrevue avec Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, qu'il a qualifiée de "très productive". Il a qualifié le conflit de "puzzle complexe", et a appelé à un "accord juste pour tout le monde".
La Chine et le Brésil avertissent contre les menaces de recours à l'arme nucléaire. "Nous appelons à s'abstenir de l'utilisation et de la menace des armes de destruction massive, en particulier les armes nucléaires, chimiques et biologiques", écrivent les deux pays, mais aussi l'Algérie, la Turquie ou encore l'Egypte à l'issue d'une réunion ministérielle sur l'Ukraine en marge de l'assemblée générale de l'ONU. Cette déclaration intervient alors que le président russe Vladimir Poutine a prévenu que la Russie pourrait utiliser l'arme nucléaire en cas de "lancement massif" d'attaques aériennes.