Spécial Joaillerie : l’or bat tous ses records
Les hausses phénoménales du cours de l’or donnent du fil à retordre aux joailliers, mais ne ternissent absolument pas l’attrait du genre humain pour ce métal solaire, à la lumière divine. Au contraire.
Les hausses phénoménales du cours de l’or donnent du fil à retordre aux joailliers, mais ne ternissent absolument pas l’attrait du genre humain pour ce métal solaire, à la lumière divine. Au contraire.
Les clients du géant italien ont découvert cette semaine à Taormine, en Sicile, plus de deux cent cinquante nouvelles créations, hautes en couleurs et en carats, parmi lesquelles une soixantaine affichant un prix au-dessus du million d’euros.
La directrice artistique du géant américain vient régulièrement à Paris pour suivre la fabrication des collections, dans un atelier historique qui lui est désormais dédié et où « Le Figaro » l’a rencontrée cette semaine.
La directrice artistique a présenté, cette semaine, dans le sud de la France, la bien nommée collection Diorexquis, qui renoue avec son inventivité joyeuse et débridée.
DÉCRYPTAGE - L’entreprise vise les 100 millions de chiffre d’affaires. Après l’échec de son modèle pur web, elle rénove et développe son réseau de boutiques.
En avril 1925, l’Exposition des arts décoratifs et industriels ouvrait ses portes à Paris, marquant l’apogée de la joaillerie moderne et posant les bases d’une esthétique toujours inspirante et désirable aujourd’hui.
Avec ses 23,24 carats, il devait être le plus gros diamant « vivid blue » à passer aux enchères. Mais, coup de théâtre, le Golconda blue, oublié depuis plus d’un siècle, et estimé entre 35 et 50 millions de dollars, ne sera finalement pas la star de Christie’s à Genève le 14 mai prochain. Un des membres de la famille qui le mettait en vente a décidé de le garder.
CRITIQUE - Riche d’une collection propre de plus de 5 500 croquis et gouachés, le musée propose une exposition interrogeant le rôle précieux, et pourtant négligé, de ces travaux préparatoires. Brillant !
« Le Figaro » a visité l’usine où le spécialiste des médailles façonne des bijoux pour son compte et celui de la place Vendôme, avec une spécialité : l’estampage. Une technique qui le classe à part et sur laquelle il s’appuie pour imposer sa griffe.
L’alphabet précieux n’a jamais été autant récité au cou et aux doigts des femmes que ces derniers temps. De tous les styles et à tous les prix.