RÉCIT - Pointé du doigt face à l’aggravation du déficit, l’ancien ministre s’est entretenu avec Emmanuel Macron et a dîné avec Alexis Kohler. Lors de la commission d’enquête sur la dérive des finances publiques, il préférera charger les oppositions que rejeter la faute sur le président.
Après des propos rapportés du président de la République qui avait affirmé que Benyamin Netanyahou ne devait «pas oublier que son pays a été créé par une décision de l'ONU», le président du Sénat a dénoncé une «méconnaissance de l'Histoire» de ce dernier.
Une enquête pour meurtre a été ouverte après qu'un cycliste a été écrasé à Paris par une voiture à la suite d'un différend, illustration d'une cohabitation de plus en plus délicate dans la capitale entre «mobilités douces» et automobiles.
Samedi, le ministre des Armées accueillera Emmanuel Macron dans le jardin de l’Hôtel de Brienne pour un discours aux troupes, la veille de la fête nationale.
CHRONIQUE - L’Europe continentale n’est pas en mesure actuellement de produire elle-même les équipements militaires dont elle aurait besoin. Serait-elle à même de mobiliser ses forces productives et ses financements?
ENQUÊTE - Reconduit lors du dernier remaniement, le ministre des Armées a opté pour le travail dans l'ombre plutôt que pour les lumières de la communication. Alors que plane de nouveau la menace de la guerre, il lui faut mener à bien la transformation des armées.
Le ministre des Armées, invité de France 2 ce vendredi, a réfuté toute idée de perte de souveraineté alors que le porte-avions Charles-de-Gaulle passe sous commandement de l’Otan pour une mission démarrant ce vendredi 26 avril.
REPORTAGE - Réunis lundi soir à Vernon (Eure), les deux poids lourds du gouvernement venus de la droite ont tenté de faire bonne figure malgré la bérézina qui guette la majorité.
Si les hausses de production ne sont pas au rendez-vous, le ministre des Armées envisage de recourir à des réquisitions et à prioriser les commandes militaires, au détriment des contrats commerciaux.
RÉCIT - Ce vendredi, le chef du gouvernement s’est ouvert à la matière militaire. Étape incontournable d’un parcours initiatique à Matignon, d’autant plus nécessaire avant de prétendre à d’autres horizons politiques.