Arkéa Ultim Challenge: un premier tour du monde qui n’a pas tenu ses promesses

Réservé aux abonnés
Les Ultims lors du départ, le 7 janvier dernier, au large des côtes bretonnes. LOIC VENANCE / AFP

Cavalier seul de Charles Caudrelier, manque de rivalité sportive, arrêts au stand en masse… La première édition de la course n’a pas donné de frissons.

« Combien seront-ils à l’arrivée ? Et dans quel état ? Après avoir bouclé la boucle sans aucune escale (autorisée par le règlement) ? Et combien, drame suprême, seront dans l’incapacité de ramener leur bateau, forcés de l’abandonner au bon vouloir des océans, jamais tendres avec les intrus ? Autant d’interrogations, de doutes, d’incertitudes », que nous exprimions avant le départ des six marins à la barre des trimarans géants et volants de l’Arkéa Ultim Challenge, le 7 janvier dernier de Brest. Et cette inédite course autour du monde va donc livrer son verdict, ce mardi matin. Et sacrer Charles Caudrelier, déjà vainqueur de la Route du rhum, il y a deux ans.

L’ancien tour-du-mondiste en équipage le disait avant de s’élancer : « Celui qui ne s’arrêtera pas aura de grandes chances de gagner. » Lui et ses cinq rivaux n’auront pas réussi à boucler la circumnavigation sans rentrer au port. C’était pourtant « un objectif et une fierté » pour le skipper du trimaran Edmond de Rothschild, comme…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 78% à découvrir.

Vente Flash

-70% sur l’abonnement numérique

Déjà abonné ? Connectez-vous