David Hallyday, transmission accomplie

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«On vit une période compliquée, avec tous ces mouvements wokistes qui arrivent des États-Unis. On est moins libres aussi, les algorithmes ont pris le pouvoir», déplore David Hallyday. Marcel Hartmann / H&K

RENCONTRE - Le chanteur revient sous les feux des projecteurs avec un album de reprises, issues de son répertoire et des succès de Johnny, avant de repartir sur scène dans toute la France.

Fidèle à sa réputation de perfectionniste, David Hallyday! À l’intérieur d’un café-restaurant du 7e arrondissement de Paris, le musicien se montre à la fois consciencieux et concentré pour évoquer la sortie de son prochain album, baptisé Requiem pour un fou  *. Volubile, mais clair et précis, il va droit au but. Son enthousiasme est perceptible. Mais aussi un certain stress. Normal: composé de titres issus de son répertoire(High, About You, Tu ne m’as pas laissé le temps, Ma dernière lettre…) et d’une sélection de tubes de son père (Derrière l’amour, Oh ma jolie Sarah, Laura, L’Envie…), son nouveau disque brille par sa singularité.

À l’évidence, il a parfaitement remis au goût du jour ces différentes compositions. Tel le premier single, Requiem pour un fou, revisité avec un jeu efficace de batterie et de synthétiseurs, ou Laura au tempo rapide et entraînant. Aucune fausse note à déplorer! Mieux, il est parvenu à les insérer dans un ensemble d’une grande cohérence. C’était un vrai pari, déclare-t-il

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