De l'écologie à la Palestine, Greta Thunberg embrasse les combats «intersectionnels» de l’extrême gauche

Le 20 octobre dernier, 13 jours après le massacre commis par le Hamas, Greta Thunberg publie une photo sur ses réseaux sociaux, suivi par près de 20 millions d’internautes sur X et Instagram. Le cliché, pris à l’occasion de la grève hebdomadaire du vendredi pour le climat menée par son mouvement Fridays for Futures, révèle la jeune militante accompagnée d’acolytes. «Nous faisons grève en solidarité avec la Palestine et Gaza», commente-t-elle.

Depuis, Greta Thunberg mélange les genres et les nuances de vert. Ici avec un drapeau palestinien, là dans une foule appelant devant l’ambassade israélienne à Stockholm, le 22 novembre, à «écraser le sionisme». Ces prises de position tranchées suscitent depuis la polémique. Outre son silence sur les 1300 civils et militaires tués par le Hamas qui a déclenché une nouvelle guerre, certains internautes n’ont pas manqué de souligner sur la photo de la première «grève» pour la Palestine, la présence d’une pieuvre en peluche fronçant les sourcils en arrière-plan…

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