«Quand je suis arrivé, trop de gens étaient présents au bureau, j’ai dit à tout le monde : maintenant, sortez !»

Neuf heures sonnent. Un moment auquel le triangle d’or parisien est au climax de son animation. La matinée est déjà chaude ; certains cols blancs ont déjà retiré leur veste qui repose sur l’avant-bras. Devant le siège du groupe Barrière, les salariés défilent. Les parfums se succèdent dans le hall. Sur le sol et son dallage à cabochons, des tabourets en forme de jetons de casino ; qui représente toujours 75 % de l’activité du groupe familial.

Dans les étages, le directeur général, Grégory Rabuel, est dans son bureau depuis 7 h 30. Une morning routine - selon le tic de langage à la mode - qui lui permet d’avoir la paix avant le début de la journée et l’enchaînement de réunions. « C’est exactement comme chez le médecin, plaisante-t-il. Une réunion ne doit jamais excéder 45 minutes. »

Courchevel, Saint-Barth’… Les joyaux du groupe sont aussi sur les murs

Dans ce bureau, calme et lumineux, un écran plat diffuse BFMTV, en sourdine. Il en est ainsi toute la journée. Le précédent poste de Grégory Rabuel ? PDG d’Altice France. Un lien de cause à effet. Une…

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