Après l’échec du Rassemblement national, qui arrive selon les premières estimations derrière l’union des gauches et le camp présidentiel, l’héritier de Marine Le Pen a étrillé le «parti unique qui s'étend de Philippe Poutou à Édouard Philippe».
L’ex-présidente de l’Assemblée nationale, réélue députée des Yvelines ce dimanche, veut former «un grand bloc central, républicain, progressiste», sans LFI, ni le RN.
Gabriel Attal interprète cette publication comme une stratégie de la part du Rassemblement national d’«influer» sur les votes de dimanche : «Cela ne montre qu'une chose: votre fébrilité».