«Notre guerre n'est pas seulement contre l'Iran mais aussi ici dans les rues»: en Israël, veillée d’armes au Proche-Orient

Réservé aux abonnés
Des Israéliens participent à une marche marquant les 300 jours de l'attaque meurtrière du 7 octobre et appelant à la libération immédiate des otages détenus à Gaza. Ricardo Moraes / REUTERS

RÉCIT - Les Occidentaux ont appelé leurs ressortissants à quitter le Liban alors qu’Israël se prépare à une riposte de l’Iran.

Comme un prélude à une déflagration plus puissante, l’attentat n’était que le dernier signe de l’extrême tension, qui s’est installée entre Israël et l’Iran, et ses milices armées étrangères de « l’axe de la résistance ». Deux personnes ont été tuées, dimanche, et deux autres blessées dans une attaque au couteau près de Tel-Aviv. « Il s’agissait d’une attaque terroriste complexe et difficile, les victimes se trouvant à trois endroits différents, à environ 500 mètres les uns des autres », a souligné Magen David, l’équivalent israélien de la Croix-Rouge. Le suspect de cet attentat, un résident de Cisjordanie occupée, a été rapidement « neutralisé » par un policier arrivé sur les lieux, a confirmé la police.

L’attaque terroriste survient alors qu’Israël est sur le pied de guerre. Une atmosphère de veillée d’armes s’est installée dans le pays après les menaces de riposte de l’Iran, du Hamas palestinien et du Hezbollah libanais à l’assassinat…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 74% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous