«Sadomasochisme», «urine», «fesses giflées» : Dimitri Payet, accusé de violences, nie toute «agression» et livre des détails sordides

Dimitri Payet est dans l’œil du cyclone. Auditionné par la police brésilienne le 16 avril dernier dans le cadre d’une enquête pour «violence physique et psychologique», le Réunionnais a réfuté toute agression sur Larissa Ferrari, une avocate de 28 ans, qui a porté plainte contre le joueur de Vasco de Gama. Au cours de son entretien avec la DEAM, l’ancien joueur de l’Olympique de Marseille a confirmé la relation extraconjugale en donnant, même, des détails. Une romance notamment «basée sur la pratique sadomasochiste».

L’ex-international français (38 sélections, 8 buts) s’est livré sur les pratiques sadiques qu’il entretenait avec l’avocate - rencontrée sur les réseaux sociaux - comme le révèle vendredi le média brésilien Metropoles . La femme de 28 ans «a commencé à envoyer des vidéos intimes et à parler de sujets liés au sexe» avec Payet, avant que la relation évolue rapidement vers des «pratiques masochistes, virtuellement et en personne», le tout de manière «consentie».

Le joueur de 38 ans a continué à déballer sa vie privée en révélant avoir eu des relations sexuelles avec Larissa Ferrai «habillée dans la robe qu’elle portait à son mariage», et être également «fétichiste». Toujours selon le natif de Saint-Pierre, l’avocate lui aurait aussi demandé de lui «uriner dessus à plusieurs reprises». En janvier 2025, la Brésilienne aurait envoyé au n°10 «une vidéo dans laquelle elle buvait spontanément sa propre urine et mettait sa tête au fond des toilettes». Afin de se justifier, l’ancien meneur de jeu de West Ham a indiqué que la pratique de boire de l’urine «était courante au sein du couple».

Ce dernier a, au même titre, trouvé réponse quant aux «traces» présentes sur le fessier de l’avocate. Ce serait «elle-même» qui aurait «demandé de se faire gifler les fesses». Concernant les ecchymoses sur les jambes, Payet a déclaré que cela était lié aux «endroits où se déroulaient les pratiques sexuelles, comme sur des chaises». En ajoutant que «comme elle avait la peau très claire, toute pression, même légère, laissait une marque».

Pour rappel, le 11 avril dernier, Larissa Ferrari avait confirmé auprès de RMC sport avoir été victime de «violences psychologiques» de la part du joueur, qui aurait utilisé «le chantage émotionnel pour obtenir un avantage sexuel». De son côté, l’avocate serait actuellement en «traitement psychologique et psychiatrique pour faire face à la situation».