«Si l’appartement ne plaît pas à Popeye, je ne l’achèterai pas» : quand les chiens pèsent sur les choix immobiliers de leurs maîtres

Claude-France, bientôt 72 ans, se prépare à faire le grand saut. Elle recherche activement un logement plus petit et va mettre en vente son cossu appartement du Trocadéro avec vue sur la Tour Eiffel et Montmartre dans lequel elle vit depuis 10 ans. «Il fait 150 m². Je n’ai plus besoin de tout cet espace. Je souhaite trouver un 130 m²», raconte-t-elle. L’affaire risque de prendre un peu de temps. L’ancienne libraire, au goût très sûr, est exigeante. Et elle doit en outre composer avec Popeye, son bouledogue français de 6 ans, rejeton d’un champion et d’une championne de cette race, tout en muscle et au caractère bien trempé. «Je suis profondément attachée à ce chien. Son avis compte. Si l’appartement ne lui plaît pas, je ne l’achèterai pas».

Or Popeye pourrait ne pas être facile à convaincre. Il n’a connu que le vaste logement du Trocadéro, avec balcon filant à l’avant et terrasse à l’arrière, où il a le droit de faire ses besoins. «Je ne le sors pas le soir». A minima, il faut à Popeye un…

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