Pour le Marineland d’Antibes, le casse-tête de l’avenir des orques

Réservé aux abonnés
Vers un autre parc ? Un sanctuaire ? Le devenir des orques de Marineland est une question sensible tant les avis divergent sur la meilleure solution à choisir pour leur bien-être. VALERY HACHE / AFP

ENQUÊTE - Le parc animalier doit rapidement trouver une solution pour ses trois cétacés stars dont la captivité sera interdite en France après 2026. Face aux tensions avec les associations, les gérants assurent qu’elles «ne seront pas vendues».

«Ils avaient monté des palissades pour qu'on ne puisse pas voir, avec des agents de sécurité qui bouchaient les trous.» Tension maximale autour du parc Marineland, à Antibes, le 9 janvier dernier, raconte la députée européenne (EELV) Caroline Roose, présente sur place. Depuis quelques jours, l'association de défense animale One Voice assurait que les trois orques du zoo marin allaient être transférées vers d’autres parcs au Japon.

Malgré le démenti de la préfecture, qui a assuré qu'aucune autorisation n'avait été demandée en ce sens, la grue déployée et l'agitation autour des cétacés conduisent les militants à se rassembler autour du site, le silence du parc sur l’opération nourrissant leurs inquiétudes.

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 92% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous