«Ils avaient monté des palissades pour qu'on ne puisse pas voir, avec des agents de sécurité qui bouchaient les trous.» Tension maximale autour du parc Marineland, à Antibes, le 9 janvier dernier, raconte la députée européenne (EELV) Caroline Roose, présente sur place. Depuis quelques jours, l'association de défense animale One Voice assurait que les trois orques du zoo marin allaient être transférées vers d’autres parcs au Japon.
Malgré le démenti de la préfecture, qui a assuré qu'aucune autorisation n'avait été demandée en ce sens, la grue déployée et l'agitation autour des cétacés conduisent les militants à se rassembler autour du site, le silence du parc sur l’opération nourrissant leurs inquiétudes.