ANALYSE - Après être parvenu à obtenir un compromis le 12 juillet, le gouvernement voit un pan des indépendantistes se désolidariser de leurs dirigeants qui ont signé le texte.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le traité de Bougival, signé le 12 juillet dernier, comporte de nombreuses tares, pointe l’eurodéputé RN. Il risque notamment de mener à une polarisation toxique et durable de la vie politique calédonienne, car chaque consultation électorale posera également la question de l’indépendance.
FIGAROVOX/TRIBUNE - L’accord signé le 12 juillet entre indépendantistes et loyalistes néo-calédoniens n’organise pas la paix sur place, mais un simple sursis, regrette le médecin Alain Destexhe, qui a exercé sur place.
Les délégations qui négociaient depuis le 2 juillet à Bougival (Yvelines) sont parvenues samedi à un compromis prévoyant la création d’un «État de Nouvelle-Calédonie», statut inédit qui doit être inscrit dans la Constitution et soumis à la population de l’archipel.
ENTRETIEN - Jean-Éric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel, revient sur l’accord de Bougival qui prévoit la création d’un « État de la Nouvelle-Calédonie ». Un projet exceptionnel qui pourrait bien s’inscrire dans la Constitution, sous conditions.
TRIBUNE - Le 12 juillet, un accord a donc été trouvé à Bougival sur la Nouvelle-Calédonie, qui remplace celui de Nouméa qui remontait à 1998. Éric Descheemaeker, professeur de droit à l’université de Melbourne, analyse les conséquences de ce texte.
PORTRAITS - Réunis en sommet par Emmanuel Macron depuis mercredi, le député indépendantiste, fils de Jean-Marie Tjibaou, et le président LR du gouvernement local sont devenus deux hommes forts de l’archipel, qu’ils tentent de rebâtir après les violences du printemps 2024.
DÉCRYPTAGE - Le chef de l’État a proposé mercredi, à l’Élysée, une « transition » de 15 à 20 ans avant de redéfinir l’avenir de l’archipel par référendum. Une idée dont les élus calédoniens, réunis en sommet, doivent débattre au moins tout ce week-end.
ANALYSE - Plus d’un an après les violences qui ont meurtri l’archipel, le chef de l’État ouvre ce mercredi un sommet avec les responsables locaux, dans l’espoir de trouver un accord que son ministre des Outre-mer, Manuel Valls, n’est pas parvenu à sceller jusque-là.
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