Un échec qui restera à jamais comme «une cicatrice» pour chacun des joueurs y ayant pris part. En échouant en quarts de finale de «leurs» Jeux olympiques au terme d’un quart de finale à l’issue cauchemardesque, les Bleus ont vu leur rêve d’or à domicile partir en fumée sur une perte de balle de Dika Mem. Aux yeux du grand public. Mais en réalité, le mal s’avérait bien plus profond sur cette compétition et l’arrière droit a hérité, ô combien injustement, du rôle de bouc émissaire alors qu’il avait été l’un des rares à surnager. En particulier sur une base arrière apparue aux abois, entre un Nedim Remili fourbu et éteint, et un Elohim Prandi loin de celui qui envoyait des «patates de forain» (copyright Thomas Villechaize, le commentateur de BeIN Sport) lors de l’Euro remporté en janvier 2024.
Avant le début de ce Mondial, Remili avait dressé ce constat : «Aux JO, on a développé un jeu beaucoup plus stérile, beaucoup plus statique et cela ne nous a pas permis de développer les qualités…