Devant l'émotion provoquée par les révélations d'agressions sexuelles commises par l'abbé Pierre, la Conférence des évêques de France (CEF) a ouvert l'accès aux documents, sans attendre le délai de 75 ans après sa mort en 2007.
Il s’agit du cinquième lieu débaptisé depuis 2001 dans la capitale. Le dernier compagnon de la libération prend la place d’une figure de la colonisation de l’Algérie au XIXème siècle.