Taxer les plus aisés et les grandes entreprises, la boîte à idées fiscales de Michel Barnier

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L’entourage de Michel Barnier rappelle qu’il a déjà plaidé pour plus de « justice fiscale ». STEPHANE DE SAKUTIN / REUTERS

ISF, niches fiscales, impôt sur les sociétés… la dégradation des finances publiques fait remonter nombre de mesures dans le débat.

« Lever le tabou. » La formule circule beaucoup, dans les discours de ceux qui ont voix au chapitre sur la question des finances publiques. En cette rentrée plus budgétaire que jamais, tout se fait comme si l’idée d’augmenter les impôts pour rétablir les comptes était une idée neuve. Ce sont pourtant d’anciennes formules fiscales qui refont surface dans le débat autour de l’élaboration du projet de loi de finances que le gouvernement Barnier sera bien obligé de présenter au début du mois prochain. 

Alors que les rumeurs sur de possibles hausses d’impôts échauffent les esprits, l’entourage du premier ministre rappelle simplement qu’il a déjà annoncé son intention de mettre en place plus de « justice fiscale ».

Les pistes qui pourraient être explorées se heurtent à une ligne rouge. « Je ne vois pas comment, dans le paysage politique actuel, on pourrait augmenter les impôts sur les classes moyennes et les petites entreprises »

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