Les françaises Greenerwave (connectivité électromagnétique) et Numalis (Intelligence artificielle), les allemandes Ineratec (carburants d'aviation durable) et VyoAA (surveillance de débris spatiaux) ou encore les américaines Electra Aero (petits avions électriques) et Avnos (captage de CO2)… Ce sont quelques-unes des start-up dans lesquelles Safran a investi, via son fonds de capital-risque maison, Safran Ventures, créé en 2015.
À l’époque, Safran veut s'ouvrir au monde des jeunes pousses, estimant qu'il doit aller chercher des idées et technologies innovantes hors de ses murs et des laboratoires avec lesquels il travaille depuis toujours. « Nous avons décidé de nous ouvrir à notre écosystème en cherchant l'innovation chez nos sous-traitants et chez les start-up, en créant un véhicule d'investissement doté d'un budget en propre de 50 millions d'euros », rappelle Éric Dalbiès, directeur Recherche & Technologie et Innovation du motoriste et équipementier aéronautique.
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