Bertille Bayart : «François Bayrou, l’anti-Borgia»
CHRONIQUE - L’alerte du premier ministre est justifiée : la situation financière du pays est dramatique. Mais la méthode déroute.
CHRONIQUE - L’alerte du premier ministre est justifiée : la situation financière du pays est dramatique. Mais la méthode déroute.
DÉCRYPTAGE - François Bayrou a annoncé lundi des mesures devant permettre aux collectivités locales de mieux s’assurer. L’une d’elles : la création d’un fonds pour répondre aux violences urbaines.
DÉCRYPTAGE - Le centriste présentera mardi aux Français les futurs efforts budgétaires, au moment où Laurent Wauquiez durcit sa ligne, en pleine bataille pour prendre la tête de LR, et où Marine Le Pen maintient ses menaces de censure.
Pour la porte-parole du gouvernement, invitée dimanche du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat, la dégradation des finances publiques exigera «des décisions politiques assez fortes» dans le prochain budget.
RÉCIT - En campagne pour la présidence de LR, le ministre de l’Intérieur a tenté jeudi de défendre « six mois intenses » au sein du gouvernement, tout en promettant de « prochains chantiers » sur l’immigration.
ANALYSE - François Bayrou et Emmanuel Macron s’étaient entendus en 2017 sur une démarche de « moralisation » de la vie publique. Cette volonté de laver plus blanc que blanc a aujourd’hui laissé place à des sentiments mêlés, voire à un malaise.
DÉCRYPTAGE - Pour les sénateurs de la droite et du centre, la perspective d’un décret du gouvernement sur la programmation pluriannuelle de l’énergie n’est pas à la hauteur des questions stratégiques posées sur la table et toujours non résolues.
RÉCIT - Sous la pression d’une opinion publique qui dénonce une pratique arbitraire, l’Assemblée nationale examine la suppression des restrictions de circulation. L’exécutif cherche une voie médiane.
DÉCRYPTAGE - Jusqu’à la périlleuse épreuve du budget à l’automne, le premier ministre veut donner des gages à la gauche sur les retraites et au RN sur la proportionnelle.
DÉCRYPTAGE - Après ses propos sur la «submersion migratoire» et ses réserves concernant la loi sur la fin de vie, la réaction du premier ministre à l’inéligibilité de Marine Le Pen a dérouté une partie du camp Macron. Y compris au sein de son parti, le MoDem, qu’il dirige encore.