Porfirio Rubirosa, la tragique fin du playboy et de sa Ferrari au bois de Boulogne
Le 5 juillet 1965, les plus belles femmes du monde sont en deuil. Celles qui ont connu intimement Porfirio Rubirosa, Rubi pour les amis, pleurent le dandy qui les épuisait au lit. Les autres regrettent de ne pas avoir partagé des moments avec cet amant infatigable que Dame Nature avait fort avantageusement doté. Comme l’écrivain Bruno de Stabenrath le raconte dans sa biographie du grand séducteur toujours tiré à quatre épingles et cheveux gominés. « Bien avant la génération Rocco Siffredi, on chuchotait qu’un certain Rubirosa, tout juste décédé, laissait pour la postérité, dans les grands restaurants de Londres, Paris, Rome ou Miami, sous forme d’antonomase, un poivrier géant que l’on avait baptisé “Rubirosa” en hommage à la majesté conséquente de son pénis. »
Plus que ses succès diplomatiques, c’est cette partie de son anatomie qui fera sa gloire, à laquelle il faut ajouter l’éducation et les bonnes manières d’un garçon de bonne famille. La carrière de diplomate de son père, concentrée…