Instants classiques N°90 : bol d’airs de Paris pour la rentrée
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - La « Douce France » du ténor olympique Benjamin Bernheim, une version du Requiem de Fauré à réveiller les morts, et la mélodie française revisitée au quatuor.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - La « Douce France » du ténor olympique Benjamin Bernheim, une version du Requiem de Fauré à réveiller les morts, et la mélodie française revisitée au quatuor.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - De L’invitation au château de Poulenc revisité par Patricia Kopatshinskaja avec une théâtralité folle, à L’Invitation au voyage de Duparc sublimée par Sandrine Piau dans son dernier album consacré à la mélodie française, laissez-vous transporter dans des mondes sonores aussi poétiques que singuliers.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - En ce début d’année, la musique symphonique française a le vent en poupe. Témoin trois disques qui célèbrent notre école d’orchestration au tournant des XIXe et XXe siècle. Au premier rang desquels Mer(s), de l’orchestre Appassionato.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Du Messie de Haendel aux Noëls revisités à la mode hollywoodienne, en passant par le répertoire du Grand Nord, notre sélection coup de cœur de disques pour accompagner la veillée ou le jour de Noël.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - À l’approche des fêtes, et comme le veut la tradition, retour sur les plus grands coups de cœur classiques du Figaro au rayon disques... De quoi finaliser vos listes au père Noël.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Divine surprise : après 25 ans de carrière, Karine Deshayes consacre son premier enregistrement au compositeur autrichien ! Pierre Génisson revient sur la passion du musicien pour la clarinette. Et Anne Queffélec porte sur son concerto pour piano n°20 un regard d’une fabuleuse poésie.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - De Bruce Liu au Sinfonia of London, en passant par Alexandre Tharaud, trois nouveaux enregistrements de référence présentent les trois versants de l’œuvre du compositeur.
Un nouvel enregistrement des trop rares Litanies à la vierge noire de Poulenc et de son Stabat Mater, un «madrigaliste spirituel» oublié, et un fantaisiste voyage de Bach à Busoni.
De la chanson rustique du XVIe siècle à la variété, en passant par le répertoire pour haute-contre ou les airs de cour du XVIIe, la chanson d’amour est un emblème français aussi puissant que le coq, la baguette ou le béret. La preuve par trois.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Une ébouriffante version de La Belle Meunière par un nouveau prince du lied de 33 ans, de surprenantes orchestrations signées Brahms, Offenbach ou Britten, et de savoureuses transcriptions pour guitare et voix. Schubert est cette semaine à l’honneur.