«Les participants attendent un effet “waouh”»: comment les salons professionnels se sont réinventés

Décolleté plongeant, dentelle ciselée, bustier travaillé avec de la colle à chaud… La robe en chocolat du couturier Jérôme Blin et de Gaël Clavière, pâtissier de Matignon, a fait sensation lors du défilé inaugural du Salon du chocolat, la semaine dernière. En raison de son allure, mais aussi de la performance réalisée sur scène, la robe en chocolat se métamorphosant sous les yeux du public. 

Après un passage éclair dans une cabine chauffée, le mannequin est venu présenter la robe qui fondait sur son corps tandis que des odeurs de chocolat étaient diffusées dans toute la salle. Un final destiné à éveiller les sens des spectateurs et à donner le ton de cette édition qui devait rassembler près de 90.000 visiteurs, son niveau d’avant le Covid. « La magie était au rendez-vous, de quoi satisfaire un public enthousiaste », se réjouit Marianne Chandernagor, directrice de pôle chez Comexposium (SIAL, Salon de l’Étudiant, Vinexpo, Silmo…), qui a acquis l’été dernier le…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 92% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous