«Nous faisons face à une alliance des perdants» : à l’Assemblée, Michel Barnier déjà sous la menace d’une motion de censure

Les premiers pas de Michel Barnier à l’Assemblée promettent déjà d’être semés d’embûches. À peine vient-il d’être nommé à Matignon que déjà, le nouveau premier ministre, issu des rangs des Républicains, se retrouve sous la menace d’une motion de censure. La gauche avait prévenu, après les résultats des élections législatives : soit le président de la République, Emmanuel Macron, nommait Lucie Castets, candidate officielle du Nouveau Front populaire (NFP), soit le nouvel occupant du 57, rue de Varenne s’exposerait à un texte de censure des quatre groupes de gauche. 

« Il y aura une motion de censure immédiate en cas de nomination d’un gouvernement hors NFP », prévenait encore Mathilde Panot, présidente du groupe LFI au Palais Bourbon, il y a quelques jours. C’est désormais chose faite. Et la gauche tiendra donc sa promesse. « Le choix qui a été fait par le chef de l’État, c’est de se mettre au barycentre des droites et de l’extrême droite 

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