« On a l’occasion d’écrire l’histoire, c’est l’opportunité d’une vie. » Submergé par l’émotion après la demi-finale remportée face à l’Allemagne (73-69), jeudi, à Bercy, Victor Wembanyama se projetait déjà sur la grande finale de ce samedi (21 h 30), contre les stars américaines. Naviguer en terres inconnues et défricher des territoires inexplorés, une seconde nature chez le géant (2,21 m) de 20 ans, un ovni, un joueur unique, qui dispute sa première compétition avec les grands Bleus. « Ce ne sera jamais un joueur lambda », prévenait le coach Vincent Collet, ces derniers mois. « C’est notre meilleur joueur », a-t-il indiqué lors du tournoi. La prise de pouvoir n’a pas attendu.
Il y avait la bande à Tony Parker, hier. Il y aura l’équipe de « Wemby » désormais. Et pour longtemps. Le visage de l’équipe de France, c’est lui, même si les Tricolores restent dans la lignée du « groupe né en 2019 », au Mondial…