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EN DIRECT - Budget, impôts, sécurité : Michel Barnier invité de «L’évènement» sur France 2
EN DIRECT - Budget, impôts, sécurité : Michel Barnier invité de «L’évènement» sur France 2
Le premier ministre participe à sa première grande émission politique jeudi soir, 48 heures après son discours de politique générale, lors duquel il a annoncé une hausse d’impôts pour les plus fortunés.
Le direct
Faits Essentiels
À retenir
• Invité ce jeudi soir de «L’évènement», sur France 2, le premier ministre Michel Barnier participe à sa première grande émission politique. Caroline Roux, doit l’interroger notamment sur les thématiques du budget 2025, des impôts ou encore de la sécurité.
• Venu de la droite LR, Michel Barnier a annoncé mardi dans sa déclaration de politique générale qu'il entendait demander «un effort limité dans le temps» et partagé par les plus grandes entreprises et les Français «les plus fortunés». Un «choc fiscal» - il réfute ce terme -, à l'opposé de la politique menée depuis 2017 et qui hérisse le camp macroniste. «Inacceptable», a tranché Gérald Darmanin jeudi, «je ne voterai pas une augmentation d'impôts».
• Mais tous sont d'autant plus fâchés qu'ils ont peu goûté la manière dont Michel Barnier a publiquement mouché mardi son prédécesseur, Gabriel Attal, en lui promettant d'être «très attentif» à ses «propositions d'économies supplémentaires»... «pour faire face au déficit (...) trouvé en arrivant».
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• Venu de la droite LR, Michel Barnier a annoncé mardi dans sa déclaration de politique générale qu'il entendait demander «un effort limité dans le temps» et partagé par les plus grandes entreprises et les Français «les plus fortunés». Un «choc fiscal» - il réfute ce terme -, à l'opposé de la politique menée depuis 2017 et qui hérisse le camp macroniste. «Inacceptable», a tranché Gérald Darmanin jeudi, «je ne voterai pas une augmentation d'impôts».
• Mais tous sont d'autant plus fâchés qu'ils ont peu goûté la manière dont Michel Barnier a publiquement mouché mardi son prédécesseur, Gabriel Attal, en lui promettant d'être «très attentif» à ses «propositions d'économies supplémentaires»... «pour faire face au déficit (...) trouvé en arrivant».