Formule 1: la saison 2024 en dix questions

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Max Verstappen (RedBull Racing), Valtteri Bottas (Kick Sauber) et Charles Leclerc (Scuderia Ferrari) lors des essais hivernaux à Bahreïn, le mercredi 21 février. HAMAD I MOHAMMED / REUTERS

Saison trop longue, champion de nouveau sacré d’avance, retour d’Alpine au premier plan... Que nous réserve cette nouvelle année de F1?

Avant le lancement du championnat, ce samedi, à Bahreïn, passage en revue des principaux enjeux du nouveau millésime.

24 grands prix dans la saison, est-ce trop ?

OUI. « Honnêtement, c'est beaucoup trop. Ce calendrier est de la folie. Nous savons tous qu'il y a beaucoup trop de courses au calendrier cette année. » Guère adepte de la langue de bois, Sergio Pérez a dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas au sein du paddock. À savoir que cette saison à 24 Grands Prix s'annonce « très brutale », selon les termes du pilote mexicain, en particulier pour tous les membres des écuries qui, en plus de la fatigue qui s'accumule, se retrouvent loin de chez eux quasiment un week-end sur deux.

Sans oublier l'aspect écologique avec des déplacements incessants d'un continent à l'autre. Ainsi, le 21 avril, la F1 se produira en Chine (Shanghaï), avant de se rendre quinze jours plus tard aux États-Unis (Miami), puis en Europe pour deux dates (Italie et Monaco) avant de revenir sur le sol américain au Canada (Montréal). Et de repartir…

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