Fin de vie : la dignité de François Bayrou face aux obsessions mortifères
TRIBUNE - En souhaitant couper le projet de loi en deux textes, l’un sur les soins palliatifs, l’autre sur la mort provoquée, le premier ministre a choisi de respecter la pluralité des convictions et des opinions sur ce sujet intime et crucial, soulignent Laurent Frémont et Emmanuel Hirsch, cofondateurs du collectif Démocratie, éthique et solidarités.