Les trois scénarios d’une attaque militaire de l’Iran contre l’État hébreu

La diplomatie empêchera-t-elle une frappe de l’Iran contre Israël? À Téhéran, le guide suprême et numéro un du régime, l’ayatollah Ali Khamenei, a affirmé mercredi qu’Israël «devait être puni», après le bombardement meurtrier inédit, attribué à l’État hébreu, le 1er avril, contre le consulat iranien de Damas en Syrie. Depuis, les États-Unis multiplient les appels téléphoniques aux dirigeants ayant de l’influence sur l’Iran afin de prévenir une frappe qui menace de plonger le Moyen-Orient dans une très dangereuse escalade des violences. Une fois de plus, c’est du sultanat d’Oman, médiateur habituel entre les deux ennemis américain et iranien, que sont venues des nouvelles relativement rassurantes.

Selon plusieurs sources iraniennes citées par l’agence Reuters, le chef de la diplomatie de Téhéran, Hossein Amir Abdollahian, a fait passer le message à Washington, dimanche, lors de sa visite à Mascate, que la «réponse» de son pays n’aurait pas pour conséquence une «escalade» des tensions et que…

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