Garder les anneaux olympiques sur la tour Eiffel : ne pas prolonger un amour d’été

En 1986, C. Jérôme reprend un titre des Chats sauvages, Derniers baisers. De sa voix claire, le chanteur raconte la fin d’un amour d’été, quand les vacances sont terminées et qu’il faut faire ses adieux. Un tube aussi mélancolique que fataliste. Alors que Paris vibre pour les Jeux paralympiques, Anne Hidalgo a, pense-t-elle, trouvé un remède à la « JO-stalgie » : garder les anneaux olympiques logés sur la tour Eiffel au-delà du 8 septembre. « C’est très beau, cette idée d’allier la tour Eiffel, monument conçu comme étant éphémère pour une Exposition universelle, aux Jeux, moment éphémère qui aura marqué Paris et le pays », explique l’édile à nos confrères de Ouest-France .

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