Elle cristallise la colère des agriculteurs. Mercredi, les deux principaux syndicats agricoles, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs, ont exigé le «respect absolu de la loi EGalim», censés mieux rémunérer les agriculteurs français. Derrière cet acronyme énigmatique, se cache en réalité trois lois, adoptées successivement en 2018, 2021 et 2023. En l’espace de quelques années, ces textes ont redessiné la nature des relations commerciales qui lient agriculteurs, distributeurs et industriels de l’agro-alimentaire français. Le Figaro fait le point sur le contenu et l’application des trois lois «EGalim».
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Tout comprendre aux lois EGalim, au cœur de la colère des agriculteurs
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Adopté en 2018, le premier volet de la loi avait pour ambition de rééquilibrer les relations commerciales dans le secteur agricole. Six ans plus tard, les agriculteurs estiment que le compte n’y est pas.
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