Agrément de conduite, performances, autonomie... Le Figaro a testé la berline Seal du chinois BYD

Personne ne l’a vu venir. Personne ne le connaît vraiment. S’il est encore un nain chez nous, BYD (prononcez «biwaïdi»), ou Build Your Dream, est déjà un géant de l’automobile, essentiellement électrique. Non content de fournir les piles à de nombreux groupes, dont Tesla, Mercedes et Stellantis, le constructeur chinois a décidé d’investir le marché avec ses propres voitures. Et cela lui réussit plutôt bien. L’année qui vient de s’achever l’a sacré champion mondial du véhicule à batterie, avec plus de 3 millions de véhicules vendus. Rien qu’au mois de décembre, ses ventes ont représenté plus de 10% de son volume annuel, soit une augmentation de 45% par rapport au même mois de l’année 2022. Ce n’est qu’un début. BYD ne compte plus se satisfaire de son marché domestique, pourtant le plus grand au monde.

Contrairement aux apparences, la Seal est une berline à coffre. BYD

Il tisse sa toile partout dans le monde, suivant l’exemple de Tesla, dont il se pose en principal concurrent. Il va ainsi construire une nouvelle usine en Hongrie pour alimenter le marché européen

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