Les derniers, mais les plus puissants. Avec le changement de pied de l’Union européenne, les États-Unis apparaissent comme l’ultime allié de la coalition d’extrême droite au pouvoir à Tel-Aviv. Problème : il est aussi celui qui dispose des leviers les plus importants pour obliger Benyamin Netanyahou à mettre fin à sa guerre totale à Gaza.
Malgré quelques frictions entre les deux diplomaties, rien n’indique que l’administration Trump envisage une révision de son soutien inconditionnel. C’est ce qu’a rappelé l’ambassadeur des États-Unis en Israël, Mike Huckabee, lors de récentes déclarations publiques : il n’y a pas de désaccords entre la Maison-Blanche et...