Immobilier : pourquoi le marché va devoir s’appuyer sur les jeunes acheteurs pour redécoller

Une lente convalescence. Depuis quelques mois, les indicateurs de l’état de santé du marché immobilier se font rassurants : le creux du dernier trimestre 2024, avec moins de 780.000 ventes sur un an, laisse place à une remontée sensible. Les taux de crédit poursuivent leur lente baisse et le recul des prix s’assagit avec le retour des hausses dans certaines villes. Selon l’Observatoire BPCE (voir les cartes ci-contre), 20 des 43 principales villes affichent désormais des hausses sur un an pour les appartements et même 22 pour les maisons, avec néanmoins quelques baisses encore sévères.

Moins sensibles aux aléas

Le neuf, quant à lui, ne profite toujours pas de cette dynamique, avec une production au plus bas, aussi bien pour le collectif que pour les maisons individuelles. Et la commercialisation de nouveaux programmes ne décolle pas non plus. Une reprise sur la pointe des pieds que les économistes de BPCE (Banque populaire et Caisse d’épargne) qualifient de « poussive ». Ce qui nécessitera sans doute plus…

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