«J’ai été meurtri» : après sa réélection à la tête de la LFP, Vincent Labrune fait son mea-culpa et promet de baisser son salaire

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«J’ai été meurtri» : après sa réélection à la tête de la LFP, Vincent Labrune fait son mea-culpa et promet de baisser son salaire

« On a fait des bonnes choses et des erreurs », a notamment déclaré Vincent Labrune après sa réélection, mardi, à Paris. Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

Dans un contexte tendu, Vincent Labrune a été réélu sans surprise à la tête de la Ligue de football professionnel pour quatre ans face à Cyril Linette.

Le football professionnel français n’en sort pas grandi. Dans une élection à la présidence de la Ligue de football professionnel dénuée de tout suspense, Vincent Labrune a été réélu mardi à Paris pour un mandat de quatre ans (2024-2028) à la tête de la LFP, sur un score sans appel. Malgré le fiasco des droits TV et un climat général délétère, le dirigeant de 53 ans a largement dominé Cyril Linette avec 85,67 % des voix de l’assemblée générale. Le détail des votes est clair, limpide et sans appel : 14 voix contre 2, un vote blanc. Une vraie démonstration de force. Et une victoire sans surprise. Circulez, il n’y a rien à voir.

« La campagne a été dense, animée, dynamique et violente, à l’image de notre société, avance Vincent Labrune face aux médias après sa victoire. À titre personnel, je regrette les excès et les outrances de certains médias, j’ai été meurtri par des propos, mais maintenant on repart unis. Si je n’entends pas les critiques, il…

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