François d'Orcival: «La flèche, le coq et la croix, la renaissance de Notre-Dame»

Cet article est issu du «Figaro Magazine»

Vendredi dernier, le 8 décembre, un an avant la réouverture de Notre- Dame de Paris au public,le président de la République a tenu à marquer par sa présence toute l’importance qu’il n’avait cessé d’accorder à ce chantier. Il l’a souligné par un geste symbolique en achevant de graver dans le bois portant la flèche le nom du général Jean-Louis Georgelin (1948-2023), l’ancien chef d’état-major des armées, à qui il avait confié cette mission. Si celui-ci n’a pu la mener à son terme, c’est à cause de l’accident de montagne qui l’a emporté, le 18 août dernier, dans les Pyrénées.

«Le chantier sait tout ce qu’on lui doit», dit Philippe Jost, son adjoint devenu son successeur à la tête de l’établissement public chargé de la remise en état de la cathédrale. «L’engagement sera tenu, sans faille.» Emmanuel Macron y a ajouté une invitation au pape à présider la grand-messe qui célébrera le retour au culte de Notre-Dame, le deuxième dimanche de l’Avent, l’an prochain…

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