« L’enfer éclatera si les otages ne sont pas de retour » : Donald Trump menace de faire plonger le Moyen-Orient dans le chaos

Si Donald Trump a pu surprendre par ses déclarations concernant le Groenland, le canal de Panama ou le Canada, on ne s’étonnera pas en revanche de son intérêt renouvelé pour le Moyen-Orient et plus particulièrement Israël. Lors de sa première présidence, il n’avait pas été seulement un défenseur acharné de Tel-Aviv et plus particulièrement de son ami Benyamin Netanyahou.

Donald Trump et son gendre Jared Kushner avait initié, défendu et imposé une politique visant à la normalisation des relations entre les pays arabes et Israël, sans passer par la case Palestine. Les accords d’Abraham comme on les appelle – jusqu’ici signés par le Maroc, le Soudan, les Émirats arabes unis et le Bahreïn – s’accompagnaient d’un feu vert plus ou moins déclaré à l’annexion des territoires palestiniens. Mais, dans la mesure où la question d’un État de Palestine n’était pas évoquée, qu’est-ce qui pouvait bien retenir Netanyahou et son gouvernement dominé par l’extrême droite ?

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