«J’ai porté la flamme olympique», le journaliste du Figaro raconte

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«J’ai porté la flamme olympique», le journaliste du Figaro raconte

Martin Couturié en pleine action Sébastien Salom-Gomis / Paris 2024

RÉCIT - Le rédacteur en chef du service des sports a tenu la torche en Vendée, ce mardi. 200 mètres et 3 minutes dans les étoiles…

Depuis son apparition le 16 avril à Olympie, la flamme a beaucoup marché, couru, roulé, galopé, surfé, escaladé, visité les plus grands monuments et les belles régions de France. Un périple dans une ambiance tout feu tout flamme, avec déjà 700.000 spectateurs agglutinés le long du parcours pour l’applaudir, la saluer, la photographier, telle une rock star. Et ce mardi 4 juin, la Vendée n’a pas échappé à la règle en offrant un accueil royal à la torche olympique et à ces dizaines d’heureux porteurs, entre le passage du Gois, le Puy du Fou et Les Sables-d’Olonne.

Invité à soulever le précieux trophée par la Banque populaire, parrain du relais de la flamme, partenaire premium des JO et propriétaire du trimaran d’Armel Le Cléac'h, qui embarquera la torche pour traverser l’Atlantique jusqu’aux Antilles (départ vendredi de Brest), j’avais reçu des consignes très claires des organisateurs de Paris 2024 depuis le premier appel téléphonique d’une chargée de communication de « Banque pop », le…

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