«François Bayrou a sorti une carte que personne n’a vu venir» : fatalistes, les ministres se sentent condamnés à partir

À l’Élysée, chacun tente de faire bonne figure devant Emmanuel Macron. Autour de la table du Conseil des ministres de rentrée, ce mercredi 27 août, les participants l’écoutent apporter son « soutien total » à la démarche de François Bayrou. Le premier ministre est officiellement autorisé à engager la responsabilité de son gouvernement, le 8 septembre, à l’Assemblée nationale, sur le désendettement de la France. Le chef de l’État appelle à la « responsabilité » des partis d’opposition qui comptent renverser le centriste.

Pour le reste, le Conseil des ministres suit son ordre du jour. Plusieurs décrets sont présentés, dont celui fixant les élections municipales aux 15 et 22 mars. Élisabeth Borne (Éducation nationale) fait un point sur la rentrée scolaire. Difficile toutefois de se projeter. La chute quasi assurée de l’alliance entre macronistes et Républicains (LR), sans majorité absolue, menace tous les plans.

« Abattement », « sidération »… Malgré la campagne lancée par…

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