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«Emmanuel Macron et le syndrome de Cendrillon»
Si l'on s'écarte enfin du microscope avec lequel depuis plus du cinquante jours on observe l'agitation stérile et circulaire de la politique, la France apparaît comme un pays qui vit des heures olympiques enchantées mais qui continue malheureusement de s'affaisser. On aura beau sceller les anneaux de Paris 2024 sur la tour Eiffel, cela ne perpétuera pas un mois béni où la nécessité de l'événement a permis de surmonter les normes absurdes, de s'affranchir des blocages, de récompenser le mérite, l'effort, l'excellence. Le 8 septembre, le carrosse redevient citrouille et il nous laissera la fierté de la réussite et l'édifice consolant du souvenir. C'est trop maigre pour affronter les crises qui menacent de s'enchaîner.