Le cancer de Charles III relance le débat entre retenue et exigence de transparence de la monarchie

Correspondant à Londres

Du vivant d'Elizabeth II, la famille royale britannique avait vécu une «annus horribilis». L'année 1992, qui avait vu trois de ses enfants se séparer de leurs conjoints tandis que le château de Windsor était ravagé par les flammes. À peine entamé, l'an 2024 ressemble déjà à l'une de ces années maudites, cette fois-ci pour les problèmes de santé en cascade qui touchent la «Firme», comme l'on surnomme la Couronne.

Il y a eu cette mystérieuse opération de l'abdomen de la si populaire Kate. On n'en sait pas plus mais la durée de l'hospitalisation comme celle de la convalescence laisse entrevoir un problème sérieux. Seule indication: il ne s'agit pas d'un cancer, selon les médias britanniques. Tout en affirmant que l'intervention était prévue, le palais a reconnu que des engagements de la princesse de Galles avaient dû être annulés, ce qui contredit quelque peu la première affirmation. Les Britanniques s'inquiètent, tant l'épouse du prince héritier William incarne avec…

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