GRAND ENTRETIEN - Le général Rajmund Andrzejczak, qui a géré le retrait polonais d’Afghanistan ainsi que les débuts de la guerre d’Ukraine, suggère aux Américains et Européens de «pratiquer l’escalade pour désescalader», jugeant que les Russes bluffent sur le nucléaire et ne comprennent que la fermeté.
Le ministère français des Affaires étrangères, Jean-Michel Barrot, venait d’annoncer que le premier ministre israélien bénéficierait en France des «immunités des États non parties à la CPI», ce qui est le cas d’Israël.
«Plusieurs personnes nommées par le président Trump pour rejoindre son équipe ont été victimes de menaces violentes et anti-américaines», a affirmé Karoline Leavitt dans un communiqué.
Après des années de crispation politique sur la question des déficits, le prochain gouvernement à Berlin pourrait être plus souple sur les dépenses pour investir dans un pays en récession.
BONNES FEUILLES - Les Mémoires de l’ancienne chancelière allemande paraîtront en français le 2 décembre aux éditions Albin Michel. Le Figaro publie un extrait de ce livre, Liberté, qui nous plonge dans les arcanes de la diplomatie européenne et illustre la rigueur allemande et sa vision de la coopération à l’échelle du continent.
ANALYSE - Dans son ouvrage, dont le Figaro Magazine publie des extraits, ainsi que dans ses interviews de promotion, la chancelière se livre à un exercice d’autojustification.
VU D’AILLEURS -La semaine dernière, le procureur général allemand a fait arrêter huit militants d’extrême droite accusés de terrorisme. Les suspects entretiennent des relations avec de nombreuses organisations connues de la scène de l’extrême droite, avec l’AfD et jusqu’en Ukraine.
VU D’AILLEURS - D’après une étude de Greenpeace, les pays de l’Otan dépenseraient dix fois plus d’argent pour leurs forces armées que la Russie. Même en excluant les États-Unis, la balance penche nettement du côté de l’Alliance. Les experts se montrent néanmoins critiques à l’égard de l’Allemagne.
DÉCRYPTAGE - Le principal adversaire du chancelier allemand, Friedrich Merz (CDU) ne compte pas voter au Bundestag les principaux textes économiques du SPD.