ENTRETIEN - Le politologue Jacques Rupnik, grand spécialiste de l’Europe centrale, revient sur l’extraordinaire métamorphose de cette région. Il pointe comment le Hongrois Orban et le Polonais Tusk structurent la nouvelle division Nord-Sud de la région qui émerge face aux défis russe et américain.
RÉCIT - L’Administration américaine présente son plan de paix entérinant les conquêtes de la Russie sous la forme d’un ultimatum à l’Ukraine. Il a expliqué que la Russie avait déjà fait « de grosses concessions» en n’envahissant pas tout le pays.
RÉCIT - Plusieurs dizaines de milliers de civils Polonais ont été massacrés pendant la Seconde Guerre mondiale par des nationalistes ukrainiens dans une entreprise «génocidaire» selon la Pologne. Ce jeudi se tient la première opération d’exhumation de fosses communes en Ukraine.
REPORTAGE - Confrontée au possible arrêt de l’aide militaire américaine, Kiev cherche à s’affranchir des livraisons étrangères en misant sur l’innovation.
REPORTAGE - À Kiev, les fidèles se sont pressés au monastère Saint-Michel, cœur spirituel de l’Église indépendante ukrainienne. À Pâques, la résurrection célébrée dans la liturgie orthodoxe résonne comme un acte de résistance.
RÉCIT - Plusieurs centaines de Chinois combattraient avec les forces russes, et une poignée du côté de Kiev, selon des témoignages récoltés par une documentariste.
DÉCRYPTAGE - Les promesses de Trump de mettre fin au conflit n’ont pas abouti, mais l’impatience du président américain reste dirigée contre l’Ukraine. «Les États-Unis ont d’autres priorités», a mis en garde vendredi Marco Rubio, le secrétaire d’État américain.
Les membres du groupe White Ward ont expliqué dans un communiqué faire face « à des défis personnels » en raison de la guerre qui oppose leur pays à la Russie.
DÉCRYPTAGE - Le premier ministre hongrois et ses lieutenants affirment que l’adhésion de l’Ukraine provoquerait la ruine de leur pays.
CHRONIQUE - Être pour la paix entre la Russie et l’Ukraine est tout sauf défaitiste ou «munichois», car, qu’on le veuille ou non, c’est devenu la seule issue possible à court terme. Mais peut-être l’Europe n’est-elle pas prête à perdre son meilleur ennemi.