Meubles, tableaux, bijoux…: nos conseils pour optimiser son héritage

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Le partage des objets précieux n'échappe pas à la taxation au titre des droits de succession. Adobe Stock /Lummi - Illustration : Elodie Meziere

À l'occasion d'un décès, le partage des objets précieux du défunt n'échappe pas à la taxation au titre des droits de succession. Cette étape, sensible pour les familles, peut être source de tensions entre les héritiers… mais aussi d'opportunités. Conseils d'experts.

Après un décès, pour calculer les droits de succession à payer sur les meubles, objets d'art et autres bijoux, les héritiers ont le choix entre une estimation forfaitaire (5% du total de la succession) et une estimation réalisée par un commissaire-priseur agréé, lors d'une prisée d'inventaire. Une solution a priori synonyme d'une transparence absolue - notamment vis-à-vis du fisc - quant à la valeur du patrimoine mobilier transmis, ces inventaires étant réalisées par un expert. Même si parfois, un tableau ou un beau bijou sont opportunément, et illégalement, mis à l'abri avant que l'estimation ait lieu, afin de faire baisser le montant de celle-ci.

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