Simone Ashley, génération Netflix

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«Je suis passée par énormément d’auditions et de rejets», explique Simone Ashley (ici, le 12 juin, à Londres). Scott A Garfitt/Invision/AP

PORTRAIT - Révélée par La Chronique des Bridgerton et Sex Education, la comédienne d’origine indienne vient de recevoir le trophée du meilleur espoir au Festival de Monte-Carlo. Ce prix couronne la ténacité d’une jeune femme, emblème du vivier de talents qui renouvelle la fiction britannique.

Ce printemps, Simone Ashley aura été sur tous les fronts. La comédienne anglaise de 29 ans aux origines indiennes aura promené sachevelurebouclée à la Farrah Fawcett et ses yeux perçants sur le tapis rouge du gala du Met, sur celui du Festival de Cannes, où elle a été intronisée égérie L’Oréal, et sur celui du Festival de télévision de Monte-Carlo. Sur le Rocher, elle a reçu, vendredi, la nymphe d’or du meilleur espoir international. Ce prix couronne la ténacité de celle qui, en deux séries «made in Netflix» cultes - Sex Education et La Chronique des Bridgerton -, est devenue la tête de pont du vivier de jeunes talents qui renouvellent la fiction britannique.

«C’est toujours une joie et une surprise d’être honorée pour son art», salue la lauréate, interrogée par Le Figaro quelques jours avant son sacre. Simone Ashley n’était pas encore non plus redescendue du pic d’adrénaline suscité par son partenariat avec la marque de cosmétiques française. «La carrière d’acteur s’accompagne d’opportunités…

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