Derrière l’offensive islamiste en Syrie, le risque migratoire se profile
DÉCRYPTAGE - Si Paris suspend provisoirement l’instruction des demandes d’asile des ressortissants syriens, le flux de migrants venus de Mésopotamie est loin d’être tari.
DÉCRYPTAGE - Si Paris suspend provisoirement l’instruction des demandes d’asile des ressortissants syriens, le flux de migrants venus de Mésopotamie est loin d’être tari.
ENTRETIEN- L’historien est, depuis 2019, le président de la mission de préfiguration du Musée-Mémorial du terrorisme (MMT), un projet aujourd’hui menacé d’abandon.
INFO LE FIGARO - Voulu par Emmanuel Macron et soutenu par les associations de victimes et des figures de l’antiterrorisme, ce lieu culturel doit ouvrir à Suresnes en 2027.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - La prise d’Alep, suivie d’une offensive vers le sud des opposants à Bachar al-Assad, traduit le retour en force de Daech dans une région que les Occidentaux ont délaissée, et qui aiguise les appétits turcs, explique l’écrivain-aventurier.
DÉCRYPTAGE - Jugés pour complicité, Naïm Boudaoud et Azim Epsirkhanov sont, parmi les huit accusés, ceux sur lesquels pèsent les charges les plus lourdes.
INFO LE FIGARO - Interpellé le 5 novembre en périphérie du Mans, le suspect, né en 2008 et de nationalité française, a été mis en examen pour un projet d’action violente.
DÉCRYPTAGE - Le 30 octobre, la justice britannique a inculpé pour terrorisme un jeune issu d’une famille rwandaise, suspecté d’avoir perpétré un massacre d’enfants qui a bouleversé le Royaume-Uni cet été. Après un Burundais en France et un Rwandais en Belgique, c’est la troisième fois qu’un individu lié à l’Afrique des Grands Lacs, a priori loin de la matrice djihadiste, est mis en cause dans un dossier islamiste en Europe.
DÉCRYPTAGE - La tragédie de l’assassinat de Samuel Paty est intervenue dans un contexte d’alerte antiterroriste maximale, et alors que les enseignants étaient ciblés par une fatwa de Daech depuis 2015.
DÉCRYPTAGE - Déposée par les parents et les sœurs de Samuel Paty en 2022, pour «non-empêchement de crime» et «non-assistance à personne en péril», elle vise des services des ministères de l’Intérieur et de l’Éducation nationale.
DÉCRYPTAGE - Huit accusés vont être jugés à partir de lundi jusqu’au 20 décembre dont deux pour complicité d’assassinat terroriste et les six autres pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Au centre des débats : l’escalade qui, en dix jours, a conduit à la décapitation d’un professeur.