Prisons de haute sécurité : un aveu de faiblesse qui ne réglera rien

Depuis la mi-juillet, les premiers détenus ont intégré ces établissements ultra-sécurisés voulus par Gérald Darmanin. Un aveu de faiblesse qui révèle l’incapacité de l’État à endiguer la montée de la corruption et qui ne réglera en rien le mal dont souffre l’ensemble de la chaîne pénale. On fait le point avec Théo Bourrieau et Bruno Rieth.

Urgence pour l’Humanité
Votre don peut tout changer

Faites vivre un média libre et engagé, toujours du côté de celles et ceux qui luttent
Je veux en savoir plus