«Chaque tempête est éprouvante, certaines plus longues que d’autres, mais le soleil finit toujours par se lever», présageait, optimiste, Stéphane Plaza sur sa page Instagram le 12 mars dernier. Le même jour, le prolixe animateur de M6 accusé de violences conjugales par deux anciennes compagnes était auditionné sous le régime de la garde à vue dans le commissariat du 3e arrondissement de Paris. Placé depuis sous contrôle judiciaire, l’agent immobilier connu des téléspectateurs pour son humour potache s’apprête désormais à faire face à la justice, le 28 août prochain.
L’occasion pour celui qui réfute les accusations de «[s]’exprimer enfin (…) sur un moment éphémère qui ne sera bientôt qu’un lointain souvenir», exposait-il encore avec assurance sur ses réseaux sociaux. «La conscience tranquille», Stéphane Plaza a affirmé aux policiers que les deux plaignantes tentaient de se «venger de ses infidélités», quand elles ont invariablement dépeint un homme manipulateur, dénigrant et violent, selon les conclusions du rapport d'enquête révélées par Le Figaro.